Oh, je crois qu'il restera... où il est... J'avais commencé, puis je me suis brusquement rendu compte que ça me cassait les pieds. Comme ça, paf.J'aimerais bien (oui, je sais, c'est égoïste ; mais tellement dans le contexte du livre ) que si un troisième opus du PVI voit (enfin) le jour, il reprenne le ton sérieusement léger qui sied si bien à tes récits
Faudrait aussi que je me remette au polar, mmfff, faudrait...
Quoi que de ce côté je sens comme une vibration.
De la jungle, de la sueur, du sang, des sales cons (ça manque pas), des gros flingues, des sales bêtes (on peut toujours en rajouter), des super gonzesses...
Basique, mais éprouvé!
Amitié
Jacques