Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narcose…
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Bon, ben notre aberration quelque peu estompée, et notre faim estompée, il est temps de rejoindre nos pénates pour les sacro-saints transferts d'hélium et retopages. Chacun vaque à ses occupations, et le gKatarn file doux, et rentre chez sa Môman. Symboliquement, nous prenons l'apéro…
A la tête qu'ils tirent, et à mon air satisfait, ça doit être suite à l'une des citations dont gKatarn doit vous régaler, mais le bougre, il se fait désirer : on dirait Xabi.
Donc cet apéro (bref) terminé, on ne tarde pas à aller se coucher, tout le monde veut être au top pour rendre visite à l'une des épaves les plus mythiques de France, voire même du Monde :
LE LEOPOLDVILLE
Départ à 13 heures du port, du moins rendez-vous sur le ponton auprès du navire que nous avons affrété. C'est pas comme si on plongeait lourd cette fois, je vous raconte pas le brol pour 7 malheureux plongeurs :
Et encore, tout n'est pas là !!!
C'est tranquillement qu'on se met en route. L'épave est à 5 milles de la sortie de la Grande Rade, et le bateau file plutôt bien. Une barcasse de pêcheurs est sur zone, et nous les laissons gracieusement faire une ou deux dérives et remonter tantôt des lieus, tantôt un fil tout nu pour avoir décoré l'épave d'une guirlande supplémentaire.
La gueuse semble bien lancée, la groseille ne bouge pas d'un poil, notre pilote se propose d'aller l'accrocher fixement sur l'épave, sur le flanc tribord. Il reste un poil de jus, mais notre pilote est un habitué des lieux, en 15 minutes, l'aller-retour est fait, la gueuse est bien fixée. On attend l'étale pour y aller. BlackColdWater et MF 12 (notez bien l'ordre dans lequel je les annonce, dorénavant, ça sera comme ça, le passe le relais, il se fait toujours précéder de son padawan) sont à la bouée, et en bon guides qu'ils sont, nous précisent la direction du peu de courant qu'il reste pour ne pas louper la bouée. C'est une belle intention, mais je me dis que quand même, une palanquée de warriors comme nous, faut pas déconner. C'est sans compter sur les gros blairs, plus habitués aux vasques et aux carrières qu'à nos conditions musclées !!!
A la tête qu'ils tirent, et à mon air satisfait, ça doit être suite à l'une des citations dont gKatarn doit vous régaler, mais le bougre, il se fait désirer : on dirait Xabi.
Donc cet apéro (bref) terminé, on ne tarde pas à aller se coucher, tout le monde veut être au top pour rendre visite à l'une des épaves les plus mythiques de France, voire même du Monde :
LE LEOPOLDVILLE
Départ à 13 heures du port, du moins rendez-vous sur le ponton auprès du navire que nous avons affrété. C'est pas comme si on plongeait lourd cette fois, je vous raconte pas le brol pour 7 malheureux plongeurs :
Et encore, tout n'est pas là !!!
C'est tranquillement qu'on se met en route. L'épave est à 5 milles de la sortie de la Grande Rade, et le bateau file plutôt bien. Une barcasse de pêcheurs est sur zone, et nous les laissons gracieusement faire une ou deux dérives et remonter tantôt des lieus, tantôt un fil tout nu pour avoir décoré l'épave d'une guirlande supplémentaire.
La gueuse semble bien lancée, la groseille ne bouge pas d'un poil, notre pilote se propose d'aller l'accrocher fixement sur l'épave, sur le flanc tribord. Il reste un poil de jus, mais notre pilote est un habitué des lieux, en 15 minutes, l'aller-retour est fait, la gueuse est bien fixée. On attend l'étale pour y aller. BlackColdWater et MF 12 (notez bien l'ordre dans lequel je les annonce, dorénavant, ça sera comme ça, le passe le relais, il se fait toujours précéder de son padawan) sont à la bouée, et en bon guides qu'ils sont, nous précisent la direction du peu de courant qu'il reste pour ne pas louper la bouée. C'est une belle intention, mais je me dis que quand même, une palanquée de warriors comme nous, faut pas déconner. C'est sans compter sur les gros blairs, plus habitués aux vasques et aux carrières qu'à nos conditions musclées !!!
Modifié en dernier par france3 le 09 juil. 2011, 18:48, modifié 1 fois.
c'est cher la plongée, alors la plongée tek, je m'y mets doucement !!!
http://francetrois.labrute.fr
[url=http://www.pneuboat.com/frames.php?url_frame=/serv-bibl/modules/pages_perso/aff_pp.php&num_pp=1813]La page de Run-Time, mon bateau[/url]
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Du coup, c'est rattrapés par la main douce mais ferme de BlackColdWater que nos deux gros blairs descendent vers le flanc du monstre d'acier.
Nous sautons juste après avec Laurent et gKatarn. Avec les scoots, il ne nous est pas difficile de suivre le mouillage, et même de doubler à toutes berzingues le team des sans bulles enfin réunis. Avant de partir, on s'est mis d'accord avec mes équipiers, y'a pas de leader, mais c'est moi qui passe devant et qui lâche le para, vu que Gilles est un peu radin sur le gaz à mettre dedans.
BlackColdWater, qui a déjà un impressionnant nombre de plongées sur cette épave à l'air, a des petites bricoles à voir plus "précisément", c'est-à-dire sans les effets bénéfiques de la narcose, il a donc traîné le dans un parcours dont nous n'avons pas tout saisi lors de ses explications.
Arrivés sur le flanc de la bête, on se doit d'aller jusqu'à la gueuse, c'est à nous trois qu'incombe cette tâche. Le bordé est lumineux, BZZzzzZZzzz, et nous voilà 10 hublots plus loin. Le temps que mes buddies règlent leurs scaph, je réexpédie en surface ce beau morceau de plomb.
Un coup d'œil au timer, il est l'heure de l'apéro, heu, non !!! nous en sommes à 4 minutes, on est à 38 mètres. Encore un coup de gachette, et c'est le grand plongeon, la lumière se fait plus rare, on descend au milieu des lieus jaunes, jusqu'au sable, 19 mètres plus bas en longeant les superstructures du bateau, on croise ses locataires d'aujourd'hui :
Il fait vraiment sombre, l'épave est immense, démesure est le mot qui colle le mieux à ce paquebot. Au fond, je me rend compte que la gestion de la palanquée, à 3, dans ces conditions et avec les scoots, c'est un peu de trop à mon humble avis. C'est surtout le manque de lumière qui rend le suivi du groupe difficile.
Pour ceux qui connaissent, on se dirige vers la cassure, l'enchaînement des ponts en teck des différents étages de l'arrière, on voit les bastinguages. Par contre, dès que l'on se risque à jeter un œil à l'intérieur, c'est le grand schwartz, même les phares arrivent en limite de portée, sans rien trouver en bout de faisceau. On se recentre donc sur les extérieurs. La plage arrière est immense, on s'y imagine bien, sur un transat, en longeant les côtes africaines. Bien entendu, on n'y trouve pas de vestiges de transat, uniquement l'armement qui a été apposé ici :
Je contourne la chute de la proue, pour me retrouver à proximité de l'hélice :
"Je", c'est parce que l'inévitable est arrivé, on s'est paumés de vue pendant un bref instant. Le temps de se retrouver, je fais signe à mes compatriotes qu'on doit se magner. On est pas à la profondeur max du run-time, mais le temps est légèrement dépassé. En clair, on est toujours à l'intérieur, mais le para n'est pas lâché. Je prends le parti de retourner sur le flanc supérieur, comme ça on est un poil plus à l'aise pour se signaler… Le temps de débrêler le bordel et d'expédier mon grand bout rouge là-haut, je me fais un petit dépassement de 40 secondes. Pour faciliter la communication, et comme on est large en gaz, je propose de passer sur le run-time +3'. gKatarn bougonne un peu dans son détendeur, mais finit par accepter. C'est tellement plus confortable avec tout ce brol de se retrouver avec 3 minutes de battement…
Les minutes de palier s'égrènent, on aperçoit tantôt les gros blairs en dessous de nous, tantôt le bateau au dessus.
On sort de cette plongée, frais et dispos, avec plein de choses à se raconter.
La suite, dans quelques jours…
Nous sautons juste après avec Laurent et gKatarn. Avec les scoots, il ne nous est pas difficile de suivre le mouillage, et même de doubler à toutes berzingues le team des sans bulles enfin réunis. Avant de partir, on s'est mis d'accord avec mes équipiers, y'a pas de leader, mais c'est moi qui passe devant et qui lâche le para, vu que Gilles est un peu radin sur le gaz à mettre dedans.
BlackColdWater, qui a déjà un impressionnant nombre de plongées sur cette épave à l'air, a des petites bricoles à voir plus "précisément", c'est-à-dire sans les effets bénéfiques de la narcose, il a donc traîné le dans un parcours dont nous n'avons pas tout saisi lors de ses explications.
Arrivés sur le flanc de la bête, on se doit d'aller jusqu'à la gueuse, c'est à nous trois qu'incombe cette tâche. Le bordé est lumineux, BZZzzzZZzzz, et nous voilà 10 hublots plus loin. Le temps que mes buddies règlent leurs scaph, je réexpédie en surface ce beau morceau de plomb.
Un coup d'œil au timer, il est l'heure de l'apéro, heu, non !!! nous en sommes à 4 minutes, on est à 38 mètres. Encore un coup de gachette, et c'est le grand plongeon, la lumière se fait plus rare, on descend au milieu des lieus jaunes, jusqu'au sable, 19 mètres plus bas en longeant les superstructures du bateau, on croise ses locataires d'aujourd'hui :
Il fait vraiment sombre, l'épave est immense, démesure est le mot qui colle le mieux à ce paquebot. Au fond, je me rend compte que la gestion de la palanquée, à 3, dans ces conditions et avec les scoots, c'est un peu de trop à mon humble avis. C'est surtout le manque de lumière qui rend le suivi du groupe difficile.
Pour ceux qui connaissent, on se dirige vers la cassure, l'enchaînement des ponts en teck des différents étages de l'arrière, on voit les bastinguages. Par contre, dès que l'on se risque à jeter un œil à l'intérieur, c'est le grand schwartz, même les phares arrivent en limite de portée, sans rien trouver en bout de faisceau. On se recentre donc sur les extérieurs. La plage arrière est immense, on s'y imagine bien, sur un transat, en longeant les côtes africaines. Bien entendu, on n'y trouve pas de vestiges de transat, uniquement l'armement qui a été apposé ici :
Je contourne la chute de la proue, pour me retrouver à proximité de l'hélice :
"Je", c'est parce que l'inévitable est arrivé, on s'est paumés de vue pendant un bref instant. Le temps de se retrouver, je fais signe à mes compatriotes qu'on doit se magner. On est pas à la profondeur max du run-time, mais le temps est légèrement dépassé. En clair, on est toujours à l'intérieur, mais le para n'est pas lâché. Je prends le parti de retourner sur le flanc supérieur, comme ça on est un poil plus à l'aise pour se signaler… Le temps de débrêler le bordel et d'expédier mon grand bout rouge là-haut, je me fais un petit dépassement de 40 secondes. Pour faciliter la communication, et comme on est large en gaz, je propose de passer sur le run-time +3'. gKatarn bougonne un peu dans son détendeur, mais finit par accepter. C'est tellement plus confortable avec tout ce brol de se retrouver avec 3 minutes de battement…
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- Erwan
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Super CR François !
T'es bourru quand même....france3 a écrit :
Erwan
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Certes mais il est trop zentil !!!Erwan a écrit :Super CR François !
T'es bourru quand même....france3 a écrit :
"chi va piano, va sano e va lontano..."
"L'avenir n'est sûr que clos par le mot fin"
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
c est quand même bien chouette de lire des cr
sur notre belle région
quand on sait le nombre d épaves répertoriées
entre cherbourg et Dieppe
les gars vous en seriez malade ...
merci a toi francois
vincent
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vincent
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Euhhhhhhhhh, on n'était pas 3... juste 2... y'avait pas d'vieux en plus de nous...france3 a écrit : BlackColdWater et MF 12 (notez bien l'ordre dans lequel je les annonce, dorénavant, ça sera comme ça, le passe le relais, il se fait toujours précéder de son padawan) sont à la bouée
Avant, il était Alain Delon... mais ça, c'était avant
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
La photo collector:france3 a écrit :
- <D L'air grognon
- la technologie moderne au service du BBQ: il n'est pas prof de meca pour rien
Merci pour le CR!
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
C'est bon de lire un CR comme ça le lundi matin quand faut trouver les forces de se mettre au boulot après une week end à faire des tites plouf (un peu tech à l'air pour travailler le fameux "effet bénéfique de la narcose", on n'a pas toujours de du He sous la main....).
Juste une précision sur le M boat pour ceux qui la chercheraient. Avec Phoenix, voici la technique qu'on a utilisé :
- à la descente, ne pas tenir compte des 3 boulets qu'on croise et qui à grands renforts de gestes, veulent nous faire croire que l'épave a disparu et qu'on nous l'a volé, donc qu'ils remontent et qu'il n'est pas nécessaire de gâcher notre gaz...
- arrivé sur le sable, palmer 3 minutes contre le courant en s'accrochant au fond pour passer de roches en roches
- puis prendre à 90°, en se disant que cela sera moins physique. Cela pendant 1 minute 30
- enfin, ras le bol ! Se laisser dériver en se disant qu'on se fera le run time au fond sur le sable à regarder le tapis roulant défiler
- lancer le parachute pour permettre aux en sécu surface de nous suivre (voir la photo du parachute)
- et alors, lever la tête. A ce moment, le M Boat se révèle dans un traveling de la proue à la poupe, sans efforts ni palmage dans le sens du courant.
Bon le soucis de cette technique, c'est que, il reste alors peu de temps pour faire une visite un peu intrusive vue qu'on arrive en bout de run time (pour moi, parce que Phoenix, la gestion du gaz, ça le fait bien rire...).
Juste une précision sur le M boat pour ceux qui la chercheraient. Avec Phoenix, voici la technique qu'on a utilisé :
- à la descente, ne pas tenir compte des 3 boulets qu'on croise et qui à grands renforts de gestes, veulent nous faire croire que l'épave a disparu et qu'on nous l'a volé, donc qu'ils remontent et qu'il n'est pas nécessaire de gâcher notre gaz...
- arrivé sur le sable, palmer 3 minutes contre le courant en s'accrochant au fond pour passer de roches en roches
- puis prendre à 90°, en se disant que cela sera moins physique. Cela pendant 1 minute 30
- enfin, ras le bol ! Se laisser dériver en se disant qu'on se fera le run time au fond sur le sable à regarder le tapis roulant défiler
- lancer le parachute pour permettre aux en sécu surface de nous suivre (voir la photo du parachute)
- et alors, lever la tête. A ce moment, le M Boat se révèle dans un traveling de la proue à la poupe, sans efforts ni palmage dans le sens du courant.
Bon le soucis de cette technique, c'est que, il reste alors peu de temps pour faire une visite un peu intrusive vue qu'on arrive en bout de run time (pour moi, parce que Phoenix, la gestion du gaz, ça le fait bien rire...).
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Dsl, plus de net à la maison... pbm de ligne France Telecomfrance3 a écrit :...ça doit être suite à l'une des citations dont gKatarn doit vous régaler, mais le bougre, il se fait désirer : on dirait Xabi.
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Euh, t'avais plus d'helium dans ton bi Guy ? Un peu de narcose pour les effets bénéfiques ? On était seulement DEUX bouletsBlackColdWater a écrit :- à la descente, ne pas tenir compte des 3 boulets qu'on croise et qui à grands renforts de gestes, veulent nous faire croire que l'épave a disparu et qu'on nous l'a volé, donc qu'ils remontent et qu'il n'est pas nécessaire de gâcher notre gaz...
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Oui, mais comme toi tu en vaux 2...gKatarn a écrit : On était seulement DEUX boulets
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Pas mieux... Pris de vitesse la dessus !
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
C'est du matos pour nains ca! T'as jamais envisagé de te mettre au tennis? nous oui !france3 a écrit :...
. C'est pas comme si on plongeait lourd cette fois, je vous raconte pas le brol pour 7 malheureux plongeurs :
[/URL]
Et encore, tout n'est pas là !!!
...
(ndlr: voir mon CR sur la sardaigne que je vais balancé sans les images qui n'arrivent pas)
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Dans le fond on est pas si con, plongeons profond!
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Haha ! Et c'est encore peu de le dire !!!BlackColdWater a écrit :Bon le soucis de cette technique, c'est que, il reste alors peu de temps pour faire une visite un peu intrusive vue qu'on arrive en bout de run time (pour moi, parce que Phoenix, la gestion du gaz, ça le fait bien rire...).
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Re: Cherbourg, ou la perte des effets bénéfiques de la narco
Merci ClaireNémogirl a écrit :Certes mais il est trop zentil !!!
c'est cher la plongée, alors la plongée tek, je m'y mets doucement !!!
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